Peindre un plafond soi-même se révèle très avantageux, surtout en termes de budget. L’essentiel est de maîtriser les différentes techniques (choix de la peinture, étape de préparation, application de la peinture…). Dans cet article, découvrez des astuces simples et infaillibles pour peindre un plafond soi-même.
Peindre son plafond soi-même : quelle peinture choisir ?
Matière, couleur, finition, matériel… Il faut penser au moindre détail avant de se lancer dans un projet de peinture de plafond.
Peinture glycéro ou peinture acrylique : quelle peinture pour son plafond ?
La peinture acrylique et la peinture glycéro présentent toutes deux des avantages et des inconvénients. On peut facilement en trouver dans les magasins de bricolage, certaines quincailleries ainsi que les magasins de peinture, dont Zolpan.
Dans le cas où vous rechercheriez une peinture résistante, optez pour la peinture glycéro. Aussi connue sous l’appellation de « peinture à l’huile », celle-ci affiche des propriétés opacifiantes sans pareilles. Toutefois, elle dégage plus d’odeur et d’agents toxiques, ce qui la rend nocive pour la santé.
La peinture acrylique ou peinture à l’eau, quant à elle, se veut moins odorante et plus écologique. Par ailleurs, elle sèche rapidement, contrairement à la peinture à l’huile. Autre élément important : le nettoyage des outils utilisés se fait facilement.
Peinture plafond : la finition idéale
En termes de finition, vous avez deux options :
- La finition mate
- La finition satinée
La finition mate reste la plus plébiscitée, car elle permet de cacher les défauts. Elle se révèle aussi efficace pour camoufler les traces de rouleau. La finition mate est à privilégier si vous désirez repeindre un plafond de manière efficace, qu’il soit abîmé ou fissuré.
La finition satinée confère au plafond un aspect plus brillant. Son principal avantage réside dans le fait qu’elle soit plus facile à laver et à entretenir qu’une finition mate. La finition satinée convient aussi bien aux plafonds neufs que ceux déjà peints. Elle a aussi le chic pour rehausser le charme des plafonds lambrissés.
Peinture pour plafond : les couleurs à privilégier
Le blanc demeure la couleur de prédilection. Cela ne vous empêche pas pour autant d’opter pour d’autres teintes, comme le jaune, le bleu et le marron. En effet, le principe est simple : une couleur vive agrandit la pièce et la rend plus lumineuse, tandis qu’une couleur sombre et foncée ne fera que réduire l’impression d’espace.
Peindre son plafond soi-même : les étapes à ne surtout pas zapper
Peindre un plafond soi-même n’est ni une chose aisée ni une partie de plaisir. Avec les bonnes astuces et les bons matériels, l’on peut tout de même réussir un tel projet avec brio.
La première chose à faire avant de peindre un plafond est de protéger le reste de la pièce avec des bâches de protection et du papier de masquage adhésif. Cela inclut le sol et les murs. Pensez également à libérer du mieux possible la pièce. Vous pouvez, par exemple retirer les éclairages, les meubles, la moquette et les rideaux.
La prochaine étape consiste à préparer le support, c’est-à-dire le plafond. Pour ce faire, vous devez nettoyer les traces de poussières, retirer les imperfections et les écailles, boucher les trous, réparer les fissures, etc. En fait, l’objectif est d’avoir une surface lisse.
Une fois le plafond prêt, vous pouvez passer à l’étape suivante : l’application de la couche de fond. La couche de fond, aussi appelée primer, permet d’uniformiser la peinture et ainsi d’obtenir un meilleur résultat. Celle-ci garantit également une meilleure adhérence au support. L’idéal serait d’appliquer deux couches de fond.
Vient alors l’étape fatidique : la peinture du plafond à proprement parler. Le mieux serait de débuter avec les bords et les coins du plafond. Pour ce faire, vous utiliserez un pinceau. Le reste de la surface sera à peindre avec un rouleau. N’hésitez pas à vous servir d’une perche télescopique pour ne pas vous fatiguer rapidement. La phase ultime consiste à travailler la finition.
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